Problème d'organisation.

Aruke avait récupéré son stylet, ce n'était pas une arme banal, la lame longue d'un trentaine de centimètres, la gardes au liens de cuir, et une maniabilité qui facilitée les mouvements de lancers, c'était un poignard parmi les plus couteux, et se défaire d'une somme d'argent comme celle ci serait stupide, il avait failli le perdre...

Il remonta les escaliers, quand une horde d'élèves arriva à sens contraire, les doublant d'un tête, aucun ne se sentit de le bousculer pour allez plus vite, et il pu avancer sans trop d'encombres.

Aussi quel ne fut pas sa surprise en voyant sa salle de classe, les meubles renversés, les tiroirs jeté au sol, et la jeune fille à qui il avait remis ses documents état justement en train de les ramasser.

Aruke n'était pas du genre à jeté un jugement hâtif, et en voyant que la fille avait l'air un peu sous le choc il en déduit qu'elle n'était pas la cause, mais la victime de tout ce chambard.

Encore une fois, il avait mis en danger la vie de la même élève, par 4 fois aujourd'hui... n'en était-ce pas déjà trop d'une ? Si jamais elle lui en voulait, car elle avait d'excellentes raison de lui en vouloir, il se pourrait que cela lui porte préjudice auprès du directeur, et qu'il se voit privé des ses petits accommodements... Ses petits accommodements ? Il n'était pas le centre du monde bon sang ! Cette élève avait failli mourir et il pensé a sa petite personne ? Aruke se dégouta lui même

Laisse moi t'aider.

Il ramassa les feuilles sous le regard étonné de son élève, qui d'ailleurs était encore perdu dans ses pensés quand il lui retira des mains les dossiers qu'elle avait déjà récupéré, il les déposa sur son bureau puis l'aida à se relever.

Tara ramasser encore les dossiers au sol.
Tout se bordelle, pour une feuille, qu'elle feuille au fait?
L'élève l'avait fait tomber en se sauvant, vraiment bête.
Le pire c'est qu'en y repensant elle le conaissait, c'était le débile qui l'avait fait tomber.
Elle avait posé la feuille sur le côté pour la montrer a son professeur, c'était une feuille de retenu au nom du garçon qu'il voulait surement reprendre, mais pourquoi avoir sacager la salle?
Perdu dans ses pensées elle n'entendit pas la porte s'ouvrir ni même son professeur s'approchés.

Laisse moi t'aider

Elle sursauta et se retourna a toute vitesse le coeur a 100 a l'heure, en voyant que ce n'était que son professeur elle se calma.
Il s'abaissa et commenca a ramasser les feuilles qui trainait.
Il lui prit même les dossiers qu'elle avait ramassé et les posa sur son bureau qui grinça un peu.
Il l'aida ensuite a se relever

-Je, je, sais pas moi enfin, c'est...

Elle bégayer en plus, elle regarda la table ou était posé la colle et le professeur s'en aprocha.

Je, je, sais pas moi enfin, c'est...

Cette voix presque sanglotante, bafouillant. Celle d'un enfant perdu. Aruke se sentit pris de compassion, cette fille était différente, elle était tombé et au lieu de pleurer de douleur en hurlant, elle avait affronté sa douleur, bousculé, elle avait commencée à s'excuser au lieu de s'énervée. Elle était différente, et il commençait à peine à réalisercà quel point...
Sans même y réfléchir, Aruke la prit contre lui dans une étreinte réconfortante, la serrant doucement contre lui, pour qu'elle se sent rassurée, pas de violence, elle en avait assez endurée aujourd'hui pour qu'il emploie son ton plat habituel, au lieu de ca il murmura :

Tout va bien, je sais que tu n'y est pour rien, calme toi...

Oh lieu d'aller récuperais la fiche il la regarda s'embrouiller.
Elle bredouilla encore plus bégaya en tentant de s'expliquer, les larmes coulait sur ses joues, rendant se yeux noir comme la roche.
Quans soudain son professeur la prit dans ses bras, une étreinte, douceur.
Jamais quelqu'un ne l'avait pris ainsi dans ses bras
Il murmura d'une voix douce

Tout va bien, je sais que tu n'y est pour rien, calme toi...

Elle se sentie bien tout d'un coup, comme si un poid sur ses épaules était partis quand il l'avait serrait contre lui.
Elle était heureuse, sans savoir pourquoi
Ses yeux redevinrent marrons noisette comme a leurs habitude, pétillant de bonheur.
Elle se laissa serrer dans ses bras, des bras fort capable de casser une planche et pourtant son étreinte n'était pas douloureuse.
Elle était simplement parfaite.
Elle appuya sa tête contre son épaule laissant ses derniers larmes la quittait.

Aruke laissa la jeune fille pleurer de tout son saoul, quand elle eu finit, il desserra son étreinte et la regarda dans les yeux.
Les yeux rougis par les larmes, un sourie flottant sur son visage, elle semblait allez mieux..

Retourne aux dortoirs, la jounée est finie, je m'occupe de l'élève...

Aruke avait pris la feuille de retenue froissée, encore cet imbécile ? Le renvoie sera donc définitif. Dés ce soir. Laissant soin aux personnes du ménages de ranger la pièce, il emporta ses documents et ferma la porte, puis il marcha jusqu'au escaliers menant aux dortoirs, trois chemins différents, l'un menant à sa chambre, la fille passa pour allez aux dortoirs des filles.

Bonne nuit, dit il dans un sourir compatissant. Puis il se détourna et entreprit de touver sa chambre.

Dortoir.