Encore... désolé

Alie arriva tout paniqué à l'infirmerie. Il serrait contre lui une Maélie inconsciente et demanda (plutôt cria) de l'aide. Une infirmière fini par arriver (quoi qu'elle était arrivée plutôt vite avec cet adolescent qui se permettait de crier dans une infirmerie. Franchement! Ya des patient qui se reposent ici!!). Elle demanda au jeune garçon (ou fille?) de déposer la malade sur un lit tout au fond de la pièce (au cas ou ça lui tenterait de déranger à nouveau tout le monde..).

Alie dût rester de l'autre côté du rideau en attendant le verdict. L'infirmière sortit finalement...

Fiouf! Son corp ne faisait que manquer complètement d'énergie. Elle n'allait pas mourrir... Alphonse resta aux côté de son amie. L'infirmière lui avait dit qu'elle prendrait presque une journée avant de se réveiller, alors il attendit. L'infirmière lui ordonna mille fois d'aller à ses cours (une amie malade n'étant pas une raison valable de les manquer), mais il refusa de quitter la malade. Il passa même une nuit blanche près d'elle, rongé par l'inquiétude. Il voulait être là à son réveil.

Le lendemain, vers 9-10 heures, le travestit décida d'aller se chercher un café. Après tout, Maélie n'était pas encore sensée se réveiller avant un bout, il reviendrait èa temps et le café le tiendrait encore un peu réveillé, mais qu'elle ''merveilleuse'' suprise il allait croiser dans le corridor...

« Bouge petite idiote... allé ça suffit comme ça! Réveille-toi! ... se n'était qu'une petite morsure de ma part sale gamine...un jour tu gouteras plus, je te le jure et se jour...tu finira comme lui...en pourssière...»

Elle cria, elle ne le sut pas, mais elle cria, hurla puis éclata en sanglot. Son corps frêle secouer par le chagrin lui fesait mal. Chaque mouvement était brûlure et pourtant elle avait si froid, la force lui manquait, elle était vide de son énergie, elle avait beau chercher au plus profond de son être elle ne la trouvait pas, comme le premier jour où son père lui avait anoncer le verdict: Elle serait la prochaine porteuse d'Akuma dans la famille Oysasumi, soit la prochaine porteuse de la flamme de l'enfer. Alors là elle s'était mise a rêver jour et nuit de cette puissance qui l'enplirait qui la rendrait enfin forte et libre. Mais Akuma ne s'était pas réveler être la porte vers l'immense éternité comme Maélie l'avait souhaiter, elle avait plutôt été une prison, une cage. Elle lui avait retiré peut a peut son innoncence et maintenant elle s'attaquait a son corp lui-même...

La jeune fille ferma les yeux, ou était-il son remède, pourquoi n'état-il pas là?? Sa clée depuis le premier jour, celui qui avait mis fin au poison qu'était cet élément qui lui mangeait la vie de façon mortelle. Ou était-il son prince charmant aux airs de princesse charmante...


Elle se recroquvillia avec le peut de force qu'elle avait puiser de son corps. ses yeux fermaient ouvraient, fermaient...ouvraient...elle avait besoin de son remède... de cet amour qui l'emprissonnait loin, plus loin que le ciel lui même, qui la fesait rêver depuis le jour de l'accident à la piscine...

Évidemment! à peine avait-il tourné le coin du couloir qu'il tamba sur la dernière personne qu'il voulait voir: Le directeur!! Même pas le sous-directeur, non, non!! Le DIRECTEUR! Si on compte les probabilité qu'il soit à la l'école et de là les probabilités qu'il soit ailleur que dans son bureau, il a fallu qu'Ali tombe sur cette infime probabilité... Chanceux n'est-ce pas?

... Et voilà!! Il viens de se faire coller 5 heures de retenue samedi prochain! Et lui qui croyait commencer l'année du bon pied, voilà déjà une journée de retenue la première fin de semaine!! Bon c'est sur qu'avaoir passer presque 10 heures au chevet de Maélie ne l'a pas aidé, mais après tout, c'est Maélie!

-MAÉLIE!

Le travesti se mis à courir en direction de l'infirmerie. Cette rencontre avec le directeur l'avait retarder de plus d'une demie-heure. Il arriva dans l'infirmerie et ralentit sa course avant le rideau qu'il poussa délicatement afin de ne pas réveiller son amie. Précautions inutiles... Il vit la pyromane recroquevillée. Elle avait bouger. Elle s'était réveillée. Il avait manqué son réveil...

-Tu ne dors pas n'Est-ce pas?

-Tu ne dors pas n'Est-ce pas?

-Qu'est-ce que tu crois? J'ai l,air d'un cheval? Chuis censé dormir les yeux ouverts maintenant???

Elle avait répondue plutôt sec, mais elle l'avait tant attendu, elle avait tant rêver de sa voix pendant cette heure qui s'était égrainé comme un vulgaire biscuit au raisin sec, trop santé pour nous que nous punisson en l'égrainant cruellement...!? Elle leva la tête vers lui, le rouge de ses joues, le rouge autour de ses yeux et pourtant... celui de ses yeux avait disparu. Ils étaient jaune, éteint, un peu comme les dernières flammes d'un feux. Elle était si belle, si fragile et à la fois l'air si sauvage, si farouche avec ses cheveux ébourrifé au teinte miellé.

Un sourire glissa enfin sur ces lèvres...

-tu me manquais...

-Qu'est-ce que tu crois? J'ai l,air d'un cheval? Chuis censé dormir les yeux ouverts maintenant???

Alie eut un sourire en coin à cette remarque digne de Maélie. Il avait déjà un peu l'impression de retrouver son amie. Un été s'était écoulé, mais les retrouvailles n'avaient pas encore eut lieu. Tout s'était passer sauf ça. Les vrais Maélie et Alphonse ne s'était même pas encore croisés.

Alphonse Wintertown avait changer. En fait, il changait petit à petit depuis la première fois qu'il avait rencontré Maélie Oyasumi. Seulement, il ne l'avait remarquer que maintenant. Quelque chose changait en lui, mais il n'arrivait pas à discerner quoi.

-tu me manquais...

Alie sourit pour de vrai. Il s'approcha du lit de la malade et s'assied sur la chaise sur laquelle il avait longuement veillé sur Maélie. Il se pencha vers celle-ci et lui donna un calin en prenant soin de ne pas faire de gestes brusques qui pourrait faire mal. En se redressant, il s'arrete à l'oreille pour laisser un petit "désolé"...

-Waaah! Allé chuis pas morte fais-toi en pas pour si peux! Ça va j'vais bien!

Elle lui envoya une de ses fameuse Maélie-Baffe derrière la tête avant d'éclater de son doux rire machiavélique qui avait poursuivit Ali a chaque année scolaire depuis la fameuse année de leur rencontre. Elle lui ébourriffa les cheveux puis se redressa mieux dans son lit pour lui faire enfin face, elle ne riait plus et était plutôt sérieuse pour une fois.

-Tu me dois des explications Wintertown!

Elle glissa une main dans les cheveux du jeune homme la laissa glissé entre les mèche de cheveux coloré, puis caressa la pointe en souriant.

-J'ai pas réellement faillit mourir parce que monsieur avait décidé de se faire une coupe bol? Sérieusement j.ai réellement cru que tout était finit...t'es un vrai monstre j'ai tellement...eu...peur...

Ses yeux s'était brusquement embué, elle détourna la tête, encore et toujours trop orgeuilleuse pour s'avouer que perdre Ali lui aurait été fatal...voir mortelle.

Elle avait figée, les mots l'un après l'autre l'avait blessé. Son Ali, qu'est-ce qui? Elle eu froid soudain se sentie vidée, perdue et si... impuissante. Son Ali souffrait, elle le savait le voyait mais ni pouvait tellement rien. Aider, tendre la main comment pouvait-elle le faire quand elle même on ne lui avait jamais tendue, on l,avait toujours repoussé dans son coin... ou était-ce elle qui s'était isolée.... mais après il y avait eu Ali et Mizu... puis Sky et Angel... eux? Oui ils avaient tous réussis a leur façon à briser cette barrière brulante de douleur pour enfin rentrer dans son coeur alors pourquoi pour Ali elle ne le ferait pas??... S'était a elle de le faire personne d'autre! Non personne ne devrait avoir le droit sauf elle de le réconforter. Ali était a elle! Elle serra les points aucune fille n'aurait le droit mis a part elle! AUCUNE! Elle ferma les yeux, chercha le calme de la chaleur... si le feux pouvant être brulant, destructeur... il pouvait aussi être doux et réconfortant.

Sa paume chaude carresa la joue mouillé, glissa vers son oreille en glissa des cheveux pour pouvoir le regarder, elle lui releva doucement le emnton, lui sourit.
-J'ai pas tout compris tu sais! Je suis pas encore tout à fait... mentalement reconecté...mais laisse moi je t,en pris une chance d ete comprendre...pas maintenant mon Ali, mais plus tard ok!?...et...et ne t'excuse pas... je t'en pris s'est pas de ta faute...s'est moi...

Elle se frotta doucemnet les yeux, regarda l'horloge et sursauta. Le temps avait avancé si vite, mais pourquoi, tantôt il était bien que midi? Non? Et là déjà 4h...
Elle s,assit en frissonnant, un drôle de mélange traversa son corps comme une décharge électrique, celle de la douleur qui se réveille et de la fatigue qui vous frappe.
Elle grogna voulant se dégager des couuvertes qui semblait un peu trop résistante pour être de vrai couverte, elle dégagea enfin son bras qui s'était emmelé dans quelques choses d,inconnues. des cheveux rouges? Non sa s'était pas si inconnue finalement...

-Alie??

Elle le poussa légèrement pour se dégager les jambes de son emprise et quitta la pièce sur la pointe des pieds en souriant: il changerait donc jamais.