Entrainement au combat [ Fini ]

Aruke marchait d'un pas décisif, de l'allure de ceux qui savent où ils vont. Tournant dans des escaliers, bifurquant pour une porte, il arriva dans la cour, et entendit un bruit puissant.

" Ah, le proviseur m'avait prévenu, la salle d'entrainement magique est une salle ou circule tellement d'énergies, qu'un sort canalise les bruits et les évacues dans le sol sous forme de vibration. Je vais devoir me faire à l'idée que les mini-séisme seront monnaie courantes, bah, ce sort est astucieux, je n'ai pas à critiquer ce système. "

Se dirigeant vers un terrain à surface plane, ou quelques poteaux avaient été dressée, il se surpris à pensée qu'être professeur dans un établissement comme celui-ci avait plus d'avantages que d'inconvénients, il avait eu le droit de s'isoler, avait eu un emploi du temps correct, ces élève était tous unique, pourquoi se plaindre ?

La raison était simple : Vivre dans une prison dorée, ce n'était pas vivre.

Il regarda ses élèves, l'un d'eux semblé blasé, et avait la tête d'un parfait bollé, l'autre était plutôt musclés et les courbes avantageuse de la jeune file ne semblé pas laisser de glace... LA fille, elle était tout d'abord arrogante sans le vouloir, mais elle était aussi finesse, elle était des trois, la plus captivante.

- Bon, je ne vais pas m'handicaper à vous trouver quelque chose de compliqué, alors vous allez me faire chacun un tour de terrain, puis un dizaine de pompes, et cela jusqu'à ce que vos poumons vous brûlent.

Tara se mit en position et effectua 20 pompes, deux fois plus certe que ce qu'on lui avait demandés, elle ne voulait pas faire la fiere ni la fo-cul avec le professeur, simplement elle voulait partir en même temps que les garçons, ils n'eurent finit que quand elle en était au double ...
Ils se relevèrent, l'un maladroits manqua de tomber et Tara leva les yeux, elle en se croyait pas supérieur mais, elle avait fait ces entraienment tellements de fois que c'était devenu pour elle un jeu d'enfant.
Elle se mit a courir quand ils eut pris 10 mêtres d'avance, elle partir dans le sens inverse de leur course en moin de 5 minutes elle passa devant eux, elle avait finit son tour, ils en avaient fait a peine la moitié du leur...
Elle leur envoya un sourire, a la course, presque personne ne la battait a part Peter elle adorait courir, sentir le vent se glissais dans ses cheveux et la poussais en avant, voir le chemin défilais sous ses pieds...
Elle continuait de courir " jusqu'a ce que vos poumons vous brulent"
Tara réfléchisser a cette question, ses poumons renfermait son feu intérieur et docn était brulant devait t'elle s'arretait ou courir jusqu'a épuisement?
Dans ce cas l'autoriserait t'on a courir toute la nuit au lieu de dormir?
Elle regarda les contour du terrains plusieurs branches était éparpillés, personne ne les mettait sur le côtés?
Perdu dans ses pensées elle ne vit pas le mauvais sourire du garçon aux "gros muscles" qui arrivait vers elle.
Il lui envoya un croche pied qui a la vitesse ou elle arrivait la fit décollées du sol, lui s'y étala de tout son long tête la premiere Tara réussi a ralentir sa chute quand ses mains touchèrent le sol elle s'en servit pour faire un salto et retrouver son équilibre, la vitesse était toujours trop forte elle s'écrasa sur le dos et lacha un cri de douleur

Tara ne bouger plus, elle avait du mal a respirer, quelques chose dans son dos c'était enfoncer dans sa peau, un cailloux?
Elle baissa les yeux vers son côtés droit, un cailloux n'est pas aussi pointus, ni assez grand pour transperçait une personne comme ça, il faudrait vraiment ramasser ces branches...
Tara toucha la branche du bois du doigt et celle ci disparut dans un tas de cendre, elle referma sa veste sur son "égratignure" et serra sa ceinture avec sa main gauche en serrant les dents, le professeur arrivait a tout allure vers eux, ils les avaient vus du bout du terrain.
Tara se relever déja lentement
*Une égratinure, ne pas y prétait attention*pensa t'elle
Comment aller l'autre?
*Pourquoi quand on me blesse je vérifie si la personne va bien?*
Elle s'aprocha de lui en essayant de se tenir droite pour ne pas se faire remarquer , le professeur était déja la
- Tu vas bien ?dit t'elle aux jeune garçon en se penchant vers lui
Elle tendit la main pour l'aider a se relever et sa ceinture se délia laissant aparaitre son tee shirt devenus un peu rouges en bas.
Elle se retourna dos aux professeur et referma sa veste comme ci de rien était

Croyant que sa punition les laisserait épuisés au bout d'un tour, Aruke avait détourné les yeux de la prestation de la jeune fille, mais alors qu'il regardait les nuages, son regard se reporta sur les élèves, alors qu'il allait se remettre à penser, l'un d'eux, tacla la june fille d'un coup fort bien placé, au creux du pied, juste sur l'astragale. Ce coup aurait juste ais tomber quelqu'un, sauf si en voulant surpasser ses camarades, la fille n'avait pas foncée sur cette obstacle, s'envolant au sens propre du terme, elle failli s'étaler de tout son long, se rétablit avec maladresse, et amplifia sa chute, son corps tomba lourdement et elle chuta sur une branche.

Aruke courut jusqu'à eux, et remarqua que la jeune fille était bléssée, elle tenta malgré tout de dissimuler sa plaie , et pour détourné l'attention d'elle, elle demanda au fautif si il allai bien.

" C'est futile, si elle voulait bien faire, elle devrait l'invectiver violemment plutôt que rester là."

Et alors que le garçon au corps musclé se relevais, Aruke pris la jeune fille par l'épaule, mais ne lui accorda pas un regard, son regard était braqué sur l'idiot, s'il avait écouté le cours, s'il avait su déchiffré un regard, il aurait eu peur, mais pas besoin d'être un grand observateur pou décler le sentiment qui animai ces yeux.

De la haine, une colère sans limite.
Et c'est à lui qu'elle était destiné.

Tu va m'attendre devant la salle de classe.

Pas de hurlements, pas d'injure, mais un ton froid comme la mort qui fit blêmir le coupable. Et il s'en alla dans une démarché qui balançait entre le "marcher lentement" et le "fuir en courant". Il reporta son attention sur la jeune fille et fixa le jeune qui avait assisté à la scène en silence, impuissant. Et même si il se sentait capable de gifler ce pleutre, il garda sa rancœur et dit simplement :

Apporte la à l'infirmerie, tu peux marcher ?

Cette parti de la phrase s'adressait à la fille au cheveux noirs, et il fixa ses yeux verts dans son regard d'ébène. Un livre, c'était un livre, dont ls pages était effacés.
Une histoire
Du passé.

-Apporte la à l'infirmerie, tu peux marcher ?
- Je, je, oui ...

Elle retenait sa respiration sa se voyait, plus elle respirait plus elle avait envie de crier.
Soudain deux yeux d'un vert intense rencontrerent les siens, ces yeux...
Un souvenir celui d'une rencontre, mais avant qu'elle n'ait pu l'identifier la douleur revint, plus forte.
Elle regarda le garçon prés d'elle, elle espérer au moin qu'il savait ou était l'infirmerie, et que même s'il semblait fragile il l'a soutiendrais car le terrain lui semblait soudain gigantesque.
Et l'école toute petite vu d'ici, toute floue...
Elle fit quelques pas en direction de l'école suivit de prés par le garçon
Elle se sentit soudain trés faible, comme une fleur que l'on coupe a la racine...
Le professeur ne l'avait pas lacher du regard une seconde
Quand ses jambes cédèrent sous elle, il était déja en position pour la rattrapper.

Ses jambes cédèrent, la laissant tomber, le garçon ne put pas esquisser un geste, le professeur l'avait déja saisi dans ses bras.
Elle se senti soulever de terre comme si elle n'avait rien peser.
Ses yeux croisèrent a nouveau les siens, si beau, si profond
Les yeux était des fenêtres ouverte sur l'âme, son âme devait être magnifique...
Les siens était devenus marrons clair, elle se sentait vide intèrieurement, comme quelques chose qui la quittait, comme chaque goutte de son sang qui tombait dans l'herbe...
douleur intense...
Elle ferma les yeux

Angoisse
Frisson
Son cœur rata un battement, elle trébucha, chuta, inerte... Avec délicatesse la rattrapa, la mis sur son épaule, et courut.

Dans sa tête des centaines, des milliers de questions se bousculèrent dans l'incompréhension la plus total , par deux fois il avait négligé ses élèves, était-il fait pour être prof ? Son chemin n'était t'il pas sensé être tracé ?

Nouveau frisson

Devait il rester ici ? Reprendre sa vie ? Pourquoi risquer la vie des autres ...

Souffle court

Aruke voulut hurler, mais il jugea ce comportement vain, cela ne la soignerait pas. Comme une bourasque il ouvrit la porte, déposa son élève sur une table et laissa l'infirmière s'occuper d'elle.

Haine.

Déjà, il avait disparut, et là-haut un élève attendait sa punition, quel punition ? Aruke voulait frapper, se battre, mais contre qui ? Lui ? Dans la folie la plus totale, Aruke s'éclipsa, il devait se calmer, réléchir.

Ne meurs pas...

Les mêmes mots, que 16 ans plus tôt.

Ne meurs pas...

Souvenir ardent
Brûlant
La mémoire est un puits de souffrance.

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